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Aujourd'hui vendredi 26 avr.

Bagarre © VLF
Événement passé

Métaphore Collectif et Fils de Venus

Dans le cadre de Festival Le B:on Air
Une proposition de Bi:Pole et dans le cadre du festival Le B:on Air

Samedi 3 juin de 10h à 6h

en prévente : 24€ sur place : 27€ (hors frais de location) Comprend l'accès au Lab Club au petit Plateau

Le Cabaret Aléatoire

Aux mains de deux collectifs, Metaphore Collectif et Fils de Vénus, le Cabaret Aléatoire fait peau neuve pour le festival Le B:on Air et devient le théâtre d’une danse ardente jusqu’au petit matin avec Fils de Venus, Bagarre, AZF b2b December (Soft War), Helena Hauff, Donarra, Permakultur.

Fils de Venus (DJ set)
Fondé en 2011, quand il ne programme pas les concerts les plus frais de la capitale, le collectif parisien Fils de Venus organise des soirées club, vantant quoi qu’il en soit les bienfaits d’un amour nocturne décomplexé tout en prônant un éclectisme musical de qualité.
Cherchant avant tout à marier diverses influences musicales, qu’elles soient pop, électro, alternative ou hip-hop, aux populations dans des espaces nocturnes variés, la joyeuse bande de copains rappelle surtout que la vie reste une fête, pleine de bonheur et de sueur.

Bagarre
Bonjour, ils sont Bagarre. Leur musique est une ode à la langue française qui, sublimée par une écriture onirique et crue, tape et ricoche sur des mélodies sauvages aux influences cosmopolites. On passe par tous les genres de la musique club. Allant des sounds systems jamaïcains à la new wave londonnienne, en passant par la Chicago house, la techno Détroit, le hip-hop ou encore le disco, le cocktail est explosif et donne un véritable coup de neuf à la chanson française. Sur scène Bagarre s’amuse à semer un joyeux chaos avec un seul mot d’ordre : célébrer la vie à tout prix !

Soft War
D’un coté, DJ AZF : une main de pierre dans un gant de fer. De l’autre, December : la classe mise à la rude épreuve d’une techno noire et tortueuse.
D’abord amis, ces deux visages de la techno parisienne voulaient depuis longtemps travailler ensemble. Avec Soft War, c’est désormais chose faite. D’abord au Sucre de Lyon, la douce guerre s’installera ensuite à Marseille pour sa deuxième date.

Helena Hauff
Passionnée par la scène techno hollandaise et les sons bruts des nineties, la productrice et Dj hambourgeoise Helena Hauff, s’initie rapidement aux rudiments des machines analogiques et façonne un univers musical brutal qu’illustre « return to disorder », son premier LP sans concession démontrant l’obsession de l’artiste pour des mélodies rugueuses et sombres – fascination qu’elle dévoile autours de sets sauvages, croisant électro-punk survolté, ghetto techno et new wave glaciale. C’est sur la scène du Cabaret Aléatoire qu’elle viendra planter le 3 juin son décor brut et torturé et distiller sa redoutable techno. Prêts ?

Donarra (Metaphore Collectif)
Tout récemment signé sur Skylax et membre de Metaphore Collectif, le jeune producteur marseillais à l’attitude enjouée est la décharge électrique qui survolte le sud de la France : là où il passe le dance-floor trépasse.
Féru de classic house et de dance old-school, il n’hésite pas à aller aussi piocher ses influences dans tous les morceaux froids new-wave, cold-wave et EBM qui ont bercé ses jeunes années pour produire un son avant tout intuitif et festif : en résulte une musique lourde qui défie les genres et n’enferme pas le style dans une case.

Permakultur (Metaphore Collectif)
Programmateurs pour Metaphore Collectif, élèves au conservatoire de Marseille en electro acoustique, activistes de l’alternatif Marseillais, producteurs et djs, les deux enfants terribles de l’underground local Israfil & Shlagga forment un duo efficace dans la vie comme sur la scène. Parmi tous leurs projets communs, Permakultur, symbole d’une amitié certifiée durable. Un set-up tout hardware, des synthés qui crient haut et fort le son du ghetto, pour un live qui tend à s’inscrire dans un courant post-techno, très inspiré des codes de la rave 90’s, synthétique et racé. Après un passage remarqué à Seconde Nature, puis au Cabaret Aléatoire, ils feront un crochet au centre Pompidou pour la nuit des musées avant de revenir en terres sacrées ce soir.