La Friche est une expérience politique, un lieu de pensée et de débat, qui donne la parole aux auteurs, aux artistes, aux militants, mais aussi aux habitants du quartier.
Bienvenue à la Friche
Aujourd'hui lundi 25 jan.
La Friche est une expérience politique, un lieu de pensée et de débat, qui donne la parole aux auteurs, aux artistes, aux militants, mais aussi aux habitants du quartier.
En janvier 2015, la Friche la Belle de Mai, avec la complicité de l’affichiste Michel Bouvet et des éditions Le Bec en l’air, lançait un appel mondial auprès des graphistes pour défendre, en image, la liberté d’expression.
La Belle Friche des Quais est un projet de recherche-action mené par un collectif de paysagistes marseillais, Par ailleurs Paysage, visant à développer un espace végétalisé dynamique, adapté, résilient, auto-entretenu et en contact direct avec le public.
2002. En plein cœur de Marseille, la Friche la Belle de Mai grandit, se transforme, s’ouvre au monde. Dix ans après l’implantation de la Friche dans le quartier de la Belle de Mai, le réalisateur Denis Cartet nous dévoilait en janvier 2002 les dessous de cet espace culturel et urbain « nouveau » qui, déjà à l’époque, […]
Quand la Friche m’a proposé une carte blanche pour documenter « L’ Autre été », je lui ai répondu, « d’accord, je ne sais pas bien ce qu’il va en sortir mais je vais prendre du temps et traîner, traîner avec les uns et les autres dans les lieux vides ou foisonnants ».
Xavier Privat, réalisateur marseillais et usager de la Friche, nous livre une courte vidéo retraçant l’histoire du projet, et donnant la parole à ceux qui l’ont conçu, vécu, rêvé.
Après avoir arpenté pendant plusieurs mois les rues, les couloirs et les coulisses du site, Xavier Privat, réalisateur marseillais, nous livre sa journée au cœur de la Friche !
Ces dernières années, la pensée prolixe du philosophe Bernard Stiegler était attachée, parmi les multiples circonvolutions de son oeuvre, à interroger, en effet, ce que penser veut dire, ou d’après Martin Heidegger « Qu’appelle-t-on penser ? ».
En janvier 2015, la Friche la Belle de Mai, avec la complicité de l’affichiste Michel Bouvet et des éditions Le Bec en l’air, lançait un appel mondial auprès des graphistes pour défendre, en image, la liberté d’expression.
Installé à la Friche depuis 1993, Georges Appaix lui a fait ses adieux le 3 septembre dernier ; l’occasion de revenir sur la relation entre l’artiste chorégraphe et ce qui a été son lieu de travail pendant 30 ans.
L’illustrateur marseillais Benoît Guillaume nous livre un feuilleton de dix épisodes consacré aux soirées musicales du toit-terrasse.
La Friche c’est un peu une extension de chez soi dans ce quartier, et j’aime observer tout le monde y trouver son compte, s’ y approprier son espace.