La question de la gestion de l’eau en milieu urbain abordée à travers divers exemples et retours d'expériences. +
Bienvenue à la Friche
Aujourd'hui lundi 7 oct.
Jeudi 16 mars 2023 à partir de 18h
De 18h à 21h
Gratuit
Les Manufactures
4 allée des Horizons
2e étage
Les artistes associé·es et les artistes en résidence à Triangle-Astérides ouvrent les portes de leur atelier aux visiteur·euses.
Les artistes associé·es et les artistes en résidence à Triangle-Astérides ouvrent les portes de leur atelier pour partager leurs recherches en cours et échanger autour de leur pratique artistique. Ce moment sera accompagné d’un temps convivial au sein de l’Atelier Assemblée, jouxtant les bureaux de Triangle-Astérides.
Le travail de Fanny Lallart (FR) s’articule autour du partage de la parole et de la transmission, à travers une perspective résolument féministe. Réfléchir en groupe, rencontrer les acteur·rices d’alternatives aux systèmes dominants, apprendre collectivement les un·es des autres, constitue l’essentiel de sa pratique. L’écriture, l’édition et l’enregistrement sonore sont des outils qu’elle affectionne particulièrement. Elle écrit en 2019 un recueil intitulé 11 textes sur le travail gratuit, l’art et l’amour pour son diplôme de fin d’études à l’école d’arts de Cergy sur les enjeux économiques de son travail. Elle a mené une résidence de recherche au CAC de Brétigny en 2020 et 2021, « The poetry inside of me is warm like a gun » sur des questions de justice et de réparation. À ce jour, rassembler des personnes qu’elle aime autour d’une table, d’un lit ou d’une imprimante est ce qui lui semble le plus censé à faire.
Le travail de Minne Kersten (NL) adopte a une approche littéraire : elle raconte des histoires visuelles et construit des environnements sculpturaux qui accompagnent ces histoires ou viennent compléter leur lecture et interprétation. Minne Kersten travaille installations, des vidéos, des sculptures et des peintures qui forment la toile de fond d’un monde fictif. Dans ce monde, qui possède sa propre logique (souvent absurde) et qui brouille les frontières de la réalité et de l’imaginaire, les personnes, les objets et les éléments architecturaux trouvent de nouvelles relations les uns avec les autres. Elle s’intéresse à la relation entre le réel et l’imaginaire, l’ordinaire et l’étrange – en mettant en scène des situations dans des décors cinématographiques auto-construits, soumis au chaos, à la décadence ou à la déconstruction. Au travers d’installations immersives, ses œuvres filmiques et sculpturales entremêlent des thèmes personnels tels que le deuil, la perte et la mémoire avec le domaine collectif de la fiction, des fables et des symboles.
Les œuvres d’Angélique Aubrit figurent des narrations de personnages flottants, présents ou absents, affectés par des situations sociales décevantes, voire désespérantes. Ludovic Beillard recherche chez ses contemporains la manière dont évoluent et s’extériorisent les cas de personnes cherchant à s’écarter de la société. Ensemble, ils partagent ce goût pour ces univers et notamment pour la commedia dell’arte, le mime, les spectacles de marionnettes, différentes formes de théâtre populaire, de même que pour les états émotionnels, la dépression, le deuil, les ambiances funèbres.
La pratique sculpturale d’Elias Kurdy perturbe l’imaginaire historique hégémonique grâce à une interprétation nouvelle et constante des récits culturels et une réappropriation des matériaux. L’artiste analyse et enquête sur les artefacts archéologiques – matériaux figés pour l’historicisation et la construction des connaissances – ainsi que les musées – sites archéologiques ou visant à la diffusion et à la démonstration du savoir. Au fil des années, il a fondé sa pratique sur les moyens permettant de démanteler la production des savoirs et le récit historique occidental, souvent considéré comme fixe et objectif, car préservé dans les livres ou les institutions et, par extension, dans la mémoire collective. La fiction et l’imitation alimentent ce travail, qui joue souvent d’humour et de ruses pour refléter la fragilité de la mémoire non occidentale et la violence de l’historicisation. Ses œuvres sont souvent sur le point de basculer, de s’effondrer ou de disparaître. Ses personnages ont tendance à lutter pour rester debout; ils risquent de disparaître aussi facilement qu’ils sont apparus.
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Lundi 14 octobre 2024 à 18h
Avec les œuvres hybrides et troublantes de ses artistes hors-normes, performance, poésie, danse, ateliers, musique et arts visuels, s’entrelacent pour ouvrir de nouveaux espaces d’expression, d’expérimentation et de représentations. +
Du 23 au 26 octobre 2024
Après midi de rencontres et de conférences autour de la question "Comment parler de plaisir en 2024 ?" +
Samedi 23 novembre 2024 à 14h
Entrée libre