Olivier Millagou déploie le récit d'une « Polynésie provençale », un mix de références et de tribus convoquées sur fonds de rifs de guitare. Mais les notes se sont enraillées, les palmiers ont perdu leurs feuilles et citent en chœur Brancusi, du skatepark ne subsiste qu'une architecture de charbon et les couchers de soleils sont éternels comme un horizon qui tournerait en boucle. +