Bienvenue à la Friche
Aujourd'hui vendredi 26 avr.

© Caroline Dutrey
Événement passé

Extra-terrasse

Dans le cadre de On Air 2019
Une proposition de la Friche la Belle de Mai

Chaque samedi à partir de 19h (lors des soirées On Air sur le toit-terrasse)
Du 29 juin au 8 septembre

Chaque samedi à partir de 19h (lors des soirées On Air sur le toit-terrasse)
Du 29 juin au 8 septembre

Gratuit

La Tour

Tous les samedis soirs, l’Extra-Terrasse anime les nocturnes de « Rhum Perrier Menthe Citron » et « Suspension volontaire de la crédulité » sous le signe de la convivialité.

Fresque collective

Dès 19h, venez jouer en famille et partez à la découverte des œuvres en habitant les expositions comme on partagerait un repas festif. Au fil des soirées de l’été, rejoigniez la communauté d’habitants qui peupleront les expositions et viendront habiter le Toit-terrasse en participant à une fresque collective.

Visites-Flash

À 21h15, 21h30 et 21h45, départ des Visites-Flash. Le concept de ces visites tout-public est de présenter en quelques minutes chrono une exposition tirée au sort :

 

Rhum Perrier Menthe Citron (4ème étage de la Tour)
Flora Moscovici, Jagna Ciuchta, Basile Ghosn
Proposée par Fræme

L’exposition transforme l’espace en paysage modulable sous le signe de l’hospitalité. Les interventions de plusieurs artistes s’y succèderont, jouant les unes avec les autres, s’invitant et se détournant au fil de l’été. En premieu lieu, Flora Moscovici recouvrira sol et colonnes d’une matière lumineuse et colorée. Puis Jagna Ciuchta occupera l’espace de volumes en différents matériaux. Enfin Basile Ghosn et ses invités du « Belsunce Project » habiteront à leur tour l’exposition de performances, concerts, lectures, etc.

Plus d’informations sur l’exposition

 

Suspension volontaire de la crédulité (le Panorama)
Une exposition d’Emmanuelle Lainé
Proposée par la Fondation d’Entreprise Ricard

Le visiteur est invité à déambuler dans un espace où les trompe-l’œil photographiques créent la confusion entre architecture, objets et mobilier. Des objets témoignent de l’occupation passée d’un espace de travail hypermoderne, d’autres objets renvoient à des métiers traditionnels d’artisans du XIXème, d’autres encore flottent dans l’espace à la manière d’interfaces digitales de jeux-vidéo. La composition surréaliste joue avec la perception et le temps.

Plus d’informations sur l’exposition