2002. En plein cœur de Marseille, la Friche la Belle de Mai grandit, se transforme, s’ouvre au monde.
Dix ans après l’implantation de la Friche dans le quartier de la Belle de Mai, le réalisateur Denis Cartet nous dévoilait en janvier 2002 les dessous de cet espace culturel et urbain « nouveau » qui, déjà à l’époque, accueillait 900 artistes français et étrangers par an, 70 structures résidentes et 450 personnes y travaillant. Sautez dans le temps et découvrez une Friche jeune, enthousiaste et impatiente de vous rencontrer !
Denis Cartet est un auteur-réalisateur résident de la Friche. Depuis 2002, il y travaille et y développe son studio de recherche cinématographique et numérique, le Digital Borax. Mapping video, veejaying, performances audio vidéo live, films documentaires, films de fictions, films d’essais, sont autant d’objets et de pratiques que façonne Digital Borax, avec l’exigence du discours sensible et du geste poétique.
À la Friche la Belle de Mai, un projet innove dans la production pour les arts de la scène depuis dix ans : le Pôle Arts de la Scène.Placé sous l’égide de l’entraide plutôt que de l’aide, cette instance originale stimule la co-responsabilité des parties prenantes et s’inscrit ainsi pleinement dans la transformation des politiques culturelles à l’ère de la facilitation.
Saviez-vous qu’avant d’être une manufacture de tabac, la Friche avait aussi été une raffinerie de sucre ?
Retour sur l’histoire de mademoiselle Boddi, ouvrière Italienne de la raffinerie Saint-Charles au XIXe siècle.