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Bienvenue à la Friche
Aujourd'hui vendredi 8 nov.
Samedi 10 juillet 2021 à 18h
Gratuit sans réservation
L'IMMS
Déambulation à partir de l'IMMS
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La performance explore les thèmes de la guérison collective, de l’énergie, la force et l’enthousiasme ainsi que de la mémoire recouvrée des peuples indigènes et de leur patrimoine.
L’un des fléaux de la colonisation est l’expulsion par la force des peuples indigènes de leur territoire ancestral et leur réinstallation en périphérie des implantations non indigènes. Un rapport du gouvernement australien a noté en 1995 que « le sentiment de perte, le traumatisme et le chagrin non résolus associés aux expulsions forcées font partie des problèmes les plus graves auxquels sont aujourd’hui confrontées les populations indigènes. ». Tel est le contexte de la création de l’œuvre E Don Tey Wey We Dey, de Jelili Atiku. Le titre E Don Tey Wey We Dey, en pidgin nigérian, signifie littéralement « nous existons depuis longtemps ».
Dans cette procession, le public est intégré comme élément à la performance et invité à marcher, à la recherche de divers icônes et d’objets. Jelili Atiku conduit le public dans plusieurs actions chorégraphiques qui symbolisent l’idée de récupération d’archives ou de « corps connaissant ».
Jelili Atiku, nigérian d’origine, est un artiste multimédia travaillant principalement les sujets des droits de l’homme et de justice. Il met son art au service des préoccupations de notre époque tels que les effets psychosociaux et émotionnels des événements traumatiques. Il évoque des thèmes comme la violence, la guerre, la pauvreté, la corruption, le changement climatique.
Afriques Fantastiques – Fantastic Africa est une fête rassembleuse imaginée par Julie Kretzschmar (Les Rencontres à l’échelle – B/P, Marseille) et Jay Pather (Infecting the City, Cape Town – Afrique du Sud). Ce week-end qui vient clore le QG Here Comes Africa donne à voir des formes artistiques performatives exigeantes, issues principalement des scènes de Kinshasa et du Cap.
Construite autour de l’invitation à une quinzaine d’artistes inscrit·e·s dans le champ de la performance qui travaillent et vivent sur le continent africain mais aussi issu·e·s de la diaspora, la programmation fait se téléscoper des fictions et des imaginaires racontant l’Afrique comme lieu d’utopies. En transformant une iconographie héritée du passé, en effaçant les vestiges d’une vision euro-centrée, une jeune génération d’artistes réactive au présent des mythes fondateurs, voire en compose de nouveaux, et esquisse les paysages d’autres futurs africains.
Ce week-end festif est l’occasion de rencontrer l’Afrique telle qu’elle se raconte en ce moment à travers des gestes radicaux ou subversifs, telle qu’elle et par elle-même au présent.
Une installation animée de films, de sons, d’images et de textes, avec lesquels le public peut interagir sans contraintes. +
Du 9 au 11 juillet 2021
Gratuit !
Une performance introspective où l'artiste se réconcilie avec ses voix intérieures. +
Les 9 & 10 juillet 2021
Gratuit !
Une performance qui convoque le corps comme émetteur et récepteur des conflits, des plaisirs, des problèmes qui traversent le monde et l'artiste. +
Les 10 & 11 juillet 2021